miércoles, 4 de julio de 2007

Tu criais...

Encontré una nueva película favorita (o ella me encontró a mí) Paris, Je t'aime.

La película está formada, si no mal recuerdo, por 18 cortos: uno por cada barrio de París, cada uno cuenta una historia diferente y cada historia se encuentra al final con el amor... y claro, en París no podía ser de otra manera.

Lo que sigue es el monólogo interno de uno de los personajes del que creo fue mi corto favorito.

Y dice así:


"Je m'en souviens exactement. Le printemps tardait, la pluie menacait, et tu criais. (...)
Tu as quitté Boston pour emménager à Paris, un petit appartement dans la rue du faubourg Saint-Louis, je t'ai montré notre quartier, mes bars, mon école, je t'ai présenté à mes amis, mes parents.

J'ai écouté les textes que tu répétais, tes chants, tes espoirs, tes désirs, ta musique...
Tu écoutais la mienne, mon italien, mon allemand, mes bribes de russe. Je t'ai donné un walkman, tu m'as offert un oreiller et, un jour, tu m'as embrassé...
Le temps passait, le temps filait et tout paraissait si facile, libre, si simple, si nouveau et si unique. On allait au cinéma, on allait danser, faire des courses, on riait, tu pleurais, on nageait, on fumait, on se rasait. De temps à autre tu criais, sans aucune raison, ou avec raison parfois, oui avec raison parfois. Je t'accompagnais au conservatoire je révisais mes examens, j'écoutais tes exercices de chant, tes espoirs, tes désirs, ta musique, tu écoutais la mienne. Nous étions proches, si proches, toujours plus proches. Nous allions au cinéma, nous allions nager, rions ensembles, tu criais, avec une raison parfois et parfois sans. Le temps passait, le temps filait. Je t'accompagnais au conservatoire, je révisais mes examens, tu m'écoutais parler italien, allemand, russe, francais, je révisais mes examens, tu criais, parfois avec raison, le temps passait, le temps filait, sans raison... Tu criais, sans raison... Je révisais mes examens, mes examens, mes examens, mes examens, le temps passait, tu criais, tu criais, tu criais..."

1 comentario:

María Giuseppina dijo...

Gracias... no entendí nada del monólogo...
TRADUCE!!